Broutards Demande soutenue pour les mâles à l’exportation
L’activité se montre assez fluide dans l’ensemble des bons mâles charolais, limousins ou croisés.
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La demande à l’exportation est assez importante et l’offre réduite. Les tarifs sont donc globalement fermes, voire légèrement haussiers. La demande de repousse et des opérations de défiscalisation (DFI) avant le 1er mars, accentuent le dynamisme des ventes de mâles légers.
À Moulins-Engilbert, Châteaumeillant et Saint-Christophe-en-Brionnais, les écarts de valorisation sont toujours observés entre les sujets vaccinés ou non. Les mâles charolais U de 350-400 kg sont côtés de 2,70 à 2,85 €/ kg vif à Châteaumeillant et Moulins-Engilbert. Les limousins d’Ussel de 350-400 kg s’échangent avec une moyenne à 2,95 €/ kg vif. Ces niveaux tarifaires sont sensiblement les mêmes que l’an passé.
Pour les plus légers, l’écoulement demeure fluide sur les marchés de l’Ouest où les charolais U de 300-350 kg se valorisent de 900 à 950 € la pièce. Les animaux de 250-300 kg se vendent entre 800 et 900 €.
À Châteaubriant, les animaux sont très maigres.
Pour les femelles, la vaccination est toujours un atout pour trouver de la place à l’exportation. La commercialisation est relativement stable avec une demande axée sur les bonnes charolaises indemnes d’IBR. Les plus ordinaires ou légères se vendent calmement sur l’Espagne, mais à des tarifs peu évolutifs.
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